LA GALERIE DES GIRAFES

Nous avons tous besoin de modèles pour apprendre ou réapprendre à oser et à sourire à la vie : Ils l’ont fait alors que cela semblait impossible alors pourquoi pas moi ?

« L’homme le plus simple qui a de la passion persuade mieux que le plus éloquent qui n’en a point. » François de La Rochefoucauld

J’ai pensé qu’il manquait à ce site des exemples concrets de réussites : une  « galerie des Girafes » où des femmes et des hommes, comme vous, ont, un jour, la plus part du temps sans autre aide que leur passion, décidés de tout faire pour vivre leur rêve.

Cette galerie vivante ne demande qu’à s’enrichir de vos suggestions, à la condition, que, tout comme moi, vous n’ayez aucun intérêt autre que votre admiration, à faire figurer dans la galerie de nouveaux cadres. (l’accord express des « girafes » est une condition préalable).

Cette semaine nous accrochons un nouveau cadre, celui de Mélanie, une responsable de station service qui avait un rêve : avoir des ailes ! et bien c’est fait, Mélanie ASTLES est quintuple championne de France de voltige aérienne et a atteint le top 10 aux championnats européens et mondiaux de son sport. Aujourd’hui membre de la Challenger Cup, elle rentre un peu plus dans l’histoire en étant la toute première femme à participer au Red Bull Air Race : une sacrée girafe !

Ali Akbar, né au Pakistan se retrouve dans la rue à 5 ans pour travailler. A 18 ans lorsqu’il débarque à Paris avec l’envie d’écrire. il ne réussi à subsister que de petits boulots et dort souvent sous les ponts. Ali rencontre le professeur Choron qui lui offre un abri à Charlie Hebdo et un emploi : Vendeur de journaux à Saint-Germain des près. Après 30 ans de distribution dans les restaurants et les brasseries il est connu de tous pour son humour et sa bonne humeur malgré les 26,32 € qu’il gagne par jour : De François Mitterrand à Jean-Louis Debré, en passant par Alain Juppé et Carla Bruni, Ali a croisé de nombreuses personnalités politiques pendant ses tournées. C’est de son histoire dont il est question dans son livre qui vient de sortir et dont il est si fier.

Thierry Marx grandit dans le quartier de Ménilmontant dans la cité HLM dite du « 140 Ménilmontant » et rêve de devenir boulanger.  Avec une scolarité médiocre, on refuse de l’intégrer à l’école hôtelière comme il le souhaitait et on l’oriente en mécanique général où il ne restera pas plus de 3 mois. A  18 ans, Thierry Marx s’engage dans l’armée comme parachutiste dans l’infanterie de marine. Il se retrouve casque bleu, en 1980 durant la Guerre du Liban.  De retour en France, il se dit « en morceaux », il est vigile, transporteur de fonds, manutentionnaire, puis se remet finalement à la cuisine. Il est commis chez Ledoyen, Taillevent puis Robuchon : C’est là que son rêve interrompu prend vie. Depuis avril 2010, il est à la tête de la restauration du Mandarin Oriental Paris. En 2012, son restaurant « Sur-mesure by Thierry Marx » reçoit deux étoiles au guide Michelin, et 4 toques au Guide Gault&Millau. Le 11 avril 2012, Il est également fait chevalier des Arts et des Lettres puis, en 2013 il est chevalier de la Légion d’honneur. En  2013, Thierry Marx et Raphaël Haumont inaugurent le Centre Français de l’Innovation Culinaire (CFIC). En 2014, il est chef de l’année au guide Pudlo et reçoit la consécration des trois assiettes

La légèreté est un état, impermanent. La faire tendre vers une constance, instable, demande des efforts de lucidité.
Je parle de cette agilité, cette élégance douce, fine, délicate, que crée la maîtrise de ce qui se passe en soi.

plume

Elle permet l’accueil de l’autre au delà de ce qu’il devrait être ou de ce qu’on voudrait qu’il soit, de se laisser voir ce que l’autre peut être plutôt que ce qu’il n’est pas.

Cette légèreté non naïve, cette écoute engagée, encourage. Elle influence parce qu’elle est contagieuse, elle aussi.

Pourquoi un club sur le talent ?

Parce qu’il n’y en avait pas !

Tout le monde a au moins un talent mais avec le temps il arrive que l’on préfère l’oublier. La timidité, les conventions, le manque d’ambition, l’absence d’écoute bienveillante… les causes sont nombreuses et pourtant cette petite flamme en nous a toujours été là !

Le « GIRAF’CLUB »  est un espace lumineux ou toutes ces petites lumières peuvent se combiner pour éclairer la voie de vôtre talent. Un club ou le talent ne se mesure pas en terme d’argent mais en terme de passion (S’il était encore de ce monde nous aurions aimer compter Vincent van Gogh parmi nos membres d’honneur lui qui n’a vendu qu’une seule toile de son vivant est pourtant reconnu comme un des plus grand maître à l’égal de Léonard de Vinci).

  • Un club ou chaque membre peut exprimer sa passion librement, sans honte, sans préjugés, sans crainte d’être jugé.

  • Un club ou l’écoute et l’entraide vous aideront à reveler votre passion.

  • Un club ou le sourire et la bonne humeur sont les seules fréquences audibles.

  • Un club ou l’expérience des autres membres vous fera gagner du temps sur votre projet.

  • Un club ou vous pourrez tester voir promouvoir votre passion-projet.